Guérison de la femme hémorragique

Guérison de la femme hémorragique, morbier, 1817
Guérison de la femme hémorragique, morbier, 1817

Or voici qu’une femme, hémorragique depuis douze années, s’approcha par derrière et toucha la frange de son manteau.
Car elle se disait en elle-même :
« Si seulement je touche son manteau, je serai sauvée. »
Jésus se retournant la vit et lui dit :
« Aie confiance, ma fille, ta foi t’a sauvée. »
Et de ce moment la femme fut sauvée.
Mt 9:20-22  


Or, une femme atteinte d’un flux de sang depuis douze années, qui avait beaucoup souffert du fait de nombreux médecins et avait dépensé tout son avoir sans aucun profit, mais allait plutôt de mal en pis, avait entendu parler de Jésus ; venant par derrière dans la foule, elle toucha son manteau.
Car elle se disait :
« Si je touche au moins ses vêtements, je serai sauvée. »
Et aussitôt la source d’où elle perdait le sang fut tarie, et elle sentit dans son corps qu’elle était guérie de son infirmité.
Et aussitôt Jésus eut conscience de la force qui était sortie de lui, et s’étant retourné dans la foule, il disait :
« Qui a touché mes vêtements ? »
Ses disciples lui disaient :
« Tu vois la foule qui te presse de tous côtés, et tu dis : qui m’a touché ? »
Et il regardait autour de lui pour voir celle qui avait fait cela.
Alors la femme, craintive et tremblante, sachant bien ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité.
Et il lui dit :
« Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix et sois guérie de ton infirmité. »
Mc 5:25-34


Or une femme, atteinte d’un flux de sang depuis douze années, et que nul n’avait pu guérir, s’approcha par derrière et toucha la frange de son manteau ; et à l’instant même son flux de sang s’arrêta.
Mais Jésus dit :
« Qui est-ce qui m’a touché ? »
Comme tous s’en défendaient, Pierre dit :
« Maître, ce sont les foules qui te serrent et te pressent. »
Mais Jésus dit :
« Quelqu’un m’a touché ; car j’ai senti qu’une force était sortie de moi. »
Se voyant alors découverte, la femme vint toute tremblante et, se jetant à ses pieds, raconta devant tout le peuple pour quel motif elle l’avait touché, et comment elle avait été guérie à l’instant même.
Et il lui dit :
« Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix. »
Lc 8:43-48  

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