La parabole de la brebis perdue

La brebis sauvée, Alford Soord, 1905
La brebis sauvée, Alford Soord, 1905

Cependant tous les publicains et les pécheurs s’approchaient de lui pour l’entendre.
Et les Pharisiens et les scribes de murmurer:
« Cet homme », disaient-ils, « fait bon accueil aux pécheurs et mange avec eux! »
Il leur dit alors cette parabole:
« Lequel d’entre vous, s’il a cent brebis et vient à en perdre une, n’abandonne les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour s’en aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée?
Et, quand il l’a retrouvée, il la met, tout joyeux, sur ses épaules et, de retour chez lui, il assemble amis et voisins et leur dit:
« Réjouissez-vous avec moi, car je l’ai retrouvée, ma brebis qui était perdue! »

C’est ainsi, je vous le dis, qu’il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes, qui n’ont pas besoin de repentir. »
Lc 15:1-7


« A votre avis, si un homme possède cent brebis et qu’une d’elles vienne à s’égarer, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes pour s’en aller à la recherche de l’égarée?
Et s’il parvient à la retrouver, en vérité je vous le dis, il tire plus de joie d’elle que des quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.
Ainsi on ne veut pas, chez votre Père qui est aux cieux, qu’un seul de ces petits se perde. »

Mt 18:12-14

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