Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s’approcha de lui, avec un flacon d’albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu’il était à table.
A cette vue les disciples furent indignés:
« A quoi bon ce gaspillage? » dirent-ils ; « cela pouvait être vendu bien cher et donné à des pauvres. »
Jésus s’en aperçut et leur dit:
« Pourquoi tracassez-vous cette femme? C’est vraiment une « bonne œuvre » qu’elle a accomplie pour moi. Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.
Si elle a répandu ce parfum sur mon corps, c’est pour m’ensevelir qu’elle l’a fait.«
« En vérité je vous le dis, partout où sera proclamé cet Évangile, dans le monde entier, on redira aussi, à sa mémoire, ce qu’elle vient de faire. »
Mt 26:6-13
Comme il se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, alors qu’il était à table, une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur, de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
Or il y en eut qui s’indignèrent entre eux:
« A quoi bon ce gaspillage de parfum? Ce parfum pouvait être vendu plus de trois cents deniers et donné aux pauvres. »
Et ils la rudoyaient.
Mais Jésus dit:
« Laissez-la ; pourquoi la tracassez-vous? C’est une bonne œuvre qu’elle a accomplie sur moi. Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous et, quand vous le voudrez, vous pourrez leur faire du bien, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.
Elle a fait ce qui était en son pouvoir: d’avance elle a parfumé mon corps pour l’ensevelissement.
En vérité, je vous le dis, partout où sera proclamé l’Évangile, au monde entier, on redira aussi, à sa mémoire, ce qu’elle vient de faire. »
Mc 14:3-9